ft. Sebastian Castellanos - The Evil Within
Arts de wurmmeat et noisyghost
Sa couleur favorite était le bleu
Maintenant il ne se souvient que du rouge
Adepte des jeux de mots aveugles
On l'a souvent comparé à un chat
Communément ce que l'on appelle un "Bad Cop"
Il a tendance à tourner de l'oeil si on lui fournit une assez bonne raison
Habite encore à l'auberge car c'est plus utile que de devoir se réhabituer à un autre logement
Préfère ses cafés noirs avec une touche de lait
On lui a donné
une tasse de café meme Il l'utilise car il voit pas ce qui est écrit dessus
Fume quatre paquet par mois
Ça l'aide à contrôler ses sens et ne pas perdre la tête
N'est pas une dent sucré et préfère le suret
Pourrait dormir dans une bine à ordure s'il le devait
Sa chambre ne possède alors pas véritablement de biens importants à ses yeux et il est toujours prêt à changer d'endroit
On lui a déjà dit que sa chambre avait l'air neutre et froide
Ne peux pas vraiment commenter sur le fait
A tendance à garder des petits restes de nourriture non-périssables
Fin de sac de chips, des fins de plat au riz, etc
C'est une habitude qu'il n'a jamais réussi à chasser même autant d'années après
Il pourrait manger n'importe quoi, mais apprécie particulièrement la cuisine Indienne
Possiblement alcoolique, il sait pas trop
Dort très légèrement
Vous pouvez le réveiller en entrant dans la salle
Se rapproche inconsciemment de la source de chaleur la plus proche quand il dort
Vieux réflexe
Il n'est aucunement doué avec les technologies
Ça n'aide pas qu'il ne voit absolument pas ce qu'il fait et qu'il n'a jamais pris le temps d'apprendre
Pour sa défense, un écran sans texture ne l'aide pas beaucoup, et même son moyen de vision ne peut que l'informer de sa présence, pas de son contenu
Bien content qu’il n’y ait plus de technologie à Phymeris
Possède une cane, mais ne l'amène pas souvent avec lui
On a déjà essayé de lui voler (vive l'humanité) et il lui a envoyé un bon coup de poing en réponse
Quotidien d'un gym près de chez lui
À cause du "cadeau" de Konnor, Demian est assaillit de migraines constantes
Car oui, sentir la signature thermique de tout le monde autours de lui c'est une voie parfaite pour la surstimulation
Mais bonus, il sait si vous mentez
et voit à travers les murs...
Ou sait où va l'eau chaude
Et l'eau froide
Et les voisins d'en haut
Et ceux du dessous-
Bref vous voyez le bordel
Naufragé se noid dans l'espace d'un instant, l'oubli d'un moment.
Ce qui a été, ce qui fut désormais, yeux insouciants contre un miroir qui n'affiche plus que la coquille d'un être. Regard insensible contre une figure invisible, orbites ouverts, mais n'y voyant que le noir
noir noir.
Noir d'un manque, noir du néant, noir de tout.
Baisse les yeux inutiles, naufragé, peut-être pourras-tu y apercevoir ce qui aurait pu être.
Une jolie petite bête qui n'a jamais attiré les regards de grand monde, trop enfouie derrière la négligence de l'être n'y trouvant pas un atout pour sa survie.
Un reflet perçant d'un azur clair.
Une crinière jamais bien brossée, malgré les efforts, dressée par les éléments.
Un visage renfermant les espoirs du temps, un sourire peut-être, des fois.
Une jeunesse effritée par érosion de l'âge, années en années arrachée par la vie, lignes tracées par des rires et des joies.
Maux de dos, maux de genoux, maux de vie, à soutenir les rires et les sourires.
Fixe en tout et rien la figure qui ne t'apparait plus, que tu ne reconnais plus, nouvelles marques sur un corps fatigué qui ne t'appartiens plus. Souvenirs amers de batailles perdues déchirées à jamais dans la chair, fantôme d'une vie morte par l'hubris d'une soirée.
Amertume nichée dans l'âme de l'égaré ayant découvert la cruauté, le froid de l'hiver et la réalité du monde extérieur sous les coups de fouet de la vie. Douleurs vécues ayant forcé leurs leçons à leur disciple récalcitrant, il apprendra ainsi que la vie n'excuse pas ainsi, ne fait que continuer sans aucune pensée pour les gens qu'elle traine dans la douleur.
Solitude gravée dans les os de l'halluciné, arrachée à autrui par le fer, brûlant les paroles par la glace et l'insolence. Lames tranchantes, grognements effilés ayant mille et une traduction pour faire taire, étouffer sur les mots avant qu'ils ne franchissent le seuil. Pour saisir par la gorge et intimer le silence, écraser les cordes et voiles, faire chavirer le navire avant qu'il ne prenne mer.
Et pourtant survivant a autrefois goûté à la douceur.
Mais n'est-ce pas cruel de rêver?
Rêver, il a arrêté.
Rêver, il a renié.
Renié par la douleur.
Renié pour survivre.
Car rêver de ce qui n'arrivera pas tue comme un animal que l'on mène à l'abattoir avec la promesse d'un festin.
Traitre à perdu contact depuis si longtemps, pourquoi être surpris qu'il ne connait plus les règles de la danse quand il ne les a jamais apprises? Pieds droits, pieds gauches, a perdu les boussoles, a perdu ses manières. Et pourtant, pour certains, il les réapprendrait uniquement pour satisfaire, pour plaire, pour maquiller le monstre quelques instants, mentir rien que pour eux. Car mensonge il y a, menteries, simples charabias, il ne se plierait jamais aux pas des autres, lui il mène sa valse par le pied gauche, commence par la fin et ne débute jamais.
Lassé
Renfermé
Loyal
Blasé
Têtu
Doux
Paternel
Inébranlable
Solitaire
Indépendant
Maladroit
Silencieux
Récalcitrant
Gris
Pessimiste
Cheveux brun chocolat
Yeux Bleus
Cicatrices fines qui traversent ses deux yeux, héritage de son accident
Barbes de plusieurs jours constantes
Cernes de quelques jours
Boite légèrement de la jambe droite
Aveugle, mais n'apporte pas sa cane
Aime pas être encombré
Possède au moins 20 paires de lunettes de rechange
Mais ne les porte pas
Fumeur
Oui il sait que c'est mal
Il s'en fout clairement
Semble avoir un physique plutôt classique, mais est plutôt baraqué
Se sont ses chemises molles qu'il porte qui lui confèrent un tel effet
1m78
Ne défait jamais ses noeuds de cravates et ça parait
Porte les mêmes trois chemises au travail depuis 5 ans
A le visage de : "Fermez-la si je n'ai pas eu mon troisième café"
A le don de vous adresser un regard qui dit : je ne te vois pas, mais je t'envois quand-même une expression parfaite de déception (je sais que tu peux faire mieux) et de j'en ai marre (J'ai déjà trop vu de chose, ptn)
Éternue comme si sa vie en dépendait
Allergique à la sève de pin
Oui c'est random
Préfère les climats chauds
Vous le verrez en pls l'hiver
Calorifère Humain
Met n'importe quoi niveau vêtement
Tant qu'il est pas tout nu
Il porte des chemises juste car c'est plus simple à enfiler
Mais vous pouvez lui passer n'importe quel chandail con et il le portera
Il est donc possible de lui faire porter tout et rien
Il hausse des épaules
Genre riez de sa gueule, il est rendu à un tel point où il s'en fout si fort
TW Descriptions de Blessures Causées par un Kamikaze, Alcoolisme, Dépression, Dissociation, Tentative de Suicide────────────────────────────────────
Joyeux Anniversaire Demian, fait ton voeu et souffle la bougie! Lorsque tu seras plus grand, tu en auras plus, mais pour le moment une seule pour mon grand garçon d'un an!
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Le fer fut forgé lors d'une rencontre d'une soirée, un lit partagé entre un étranger et son amante : L'une à la recherche d'aventure et d'émancipation, l'autre d'un peu de bon temps. Aucun des deux n'avaient prévus se souvenir au réveil de la voix ou de la chaleur de l'étreinte de l'autre, la soirée devait être brève, froide du lendemain au lit vide.
Et pourtant.
L'homme s'en alla le coeur léger, sans aucun doute du feu qu'il avait allumé au sein de la gente dame.
Femme n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour déceler cette petite vie qui somnolait en elle : non, elle n'avait jamais été imprudente quant à sa santé, pas lorsqu'elle avait partagé son corps avec autant d'inconnus dans sa vie. Mais la question était de garder ou pas? Nourrir cette toute petite vie, dans son petit studio au milieu des basfonds de New York, ou mettre fin au rêve, tirer la prise avant qu'il ne soit trop tard?
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9 mois plus tard, dans le petit hôpital proche de chez elle, naquit son fils. Une petite tête déjà un peu coloré par les gènes de son père, mais aux yeux bleus glace de sa mère, aux poumons déjà bien assortis à la tête froncée d'un bon caractère. Ensuivirent les années d'enfance, de souffrance et de joie d'un petit garçon plein de rêve d'aider les gens, un peu trop hyperactif pour sa pauvre mère, mais si si compatissant. Toujours yeux étoilés lorsque son "tonton 'Liam" venait les visiter, à la fin de son quart de travail au poste de police, pour lui raconter toutes les histoires qu'il avait à dire et redire, à peindre l'imaginaire du petit bonhomme de course et poursuite dans les rues de la ville à la recherche du prochain mystère à élucider, prochaine personne à retrouver ou crime à arrêter.
Cette volonté d'aider les gens et les rêves qui s'était formé depuis l'enfance poussa le jeune (plus si jeune désormais) enfant à se tourner rapidement à suivre dans les pas de son tonton en tout sauf le sang. Il allait devenir détective, comme son tonton, c'était décidé, et quand le garçon décidait de quelque chose, il l'accomplissait, c'était tout. Imaginez la joie et la fierté dans les yeux de sa mère lorsqu'il gravit les marches de la scène afin de recevoir son propre badge.
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Ainsi séparée de son petit bonhomme, la mère inquiète dès qu'elle entendait parler de conflit dans les rues, sortait afin de faire les courses lorsqu'un homme un peu trop saoul croisa son chemin. Élans de colère face à cette dame ne se pliant pas à ses demandes de vacanter les lieux finirent avec du sang sur les mains et une arrestation pour meurtre sous effet d'intoxication. Fils était loin, pourtant, si loin qu'il ne pu revenir à temps pour dire une dernière fois au revoir à la seule figure parentale dans sa vie.
Travail et deuil n'ont jamais aussi bien dansé que dans les pleurs d'un fils abattu, mains dans la main et surmenage comme pas pour faire aller leurs corps. Tête au-dessus de l'eau, avec seulement la volonté de lâcher prise et de sombrer.
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L'odeur âcre empestant la forêt déserte d'une station service abandonnée, seule lumière pour les yeux affolés des témoins les flammes s'élevant du cadavre de fer d'où s'envolaient des bouffées de gris jusque dans le ciel nocturne, corps étendus au sol du vacarme de la vengeance d'un désespéré ayant décidé que la mort de plusieurs paierait pour sa liberté contestée. Griffes de verre encore acérées dans la chair du fils, douleurs et hurlements seuls compagnons dans la noirceur de son existence, néant image pour l'audio de sa souffrance. Sensations de mains sur son corps meurtris, et seuls les souvenirs d'un rouge intense comme compagnons dans l'inconscience, une pensée pour une autre personne sur les lieux.
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L'abysse éternel, voici sa récompense pour son service. "Bravo soldat, vous avez fait votre travail avec brio, vous allez être sur pied en peu de temps. Les États-Unis d'Amériques vous remercie de votre service", dit l'officier dont le visage échappe comme tout autre au meurtri, signe sa décharge temporaire
son arrêt de mort, on le félicite, on l'acclame, mais si Soldat ne voit pas les sourires amers sur les visages, il entend les murmures de pitié et les secrets qu'on essai de cacher : il ne verra plus jamais, et on aura beau lui mentir en souriant d'une tromperie invisible, ce n'est pas ses oreilles que les brisures de verres ont arrachés.
Rêves et souhaits, derniers voeux fait à une Disparue, envolés le temps d'une soirée par la cruauté d'un autre décidant que sa mort serait celle d'autrui. Celui dont la vie ne tenait qu'à rendre ce qui n'était plus, le voici sans but et sans chemin, à arpenter les jours tel un spectre, hantant son propre corps dont il ne reconnaissait pas les membres. Trop vieux, trop grand, mais où était passé le petit garçon dont les rêves faisaient scintiller ses pupilles?
Mort, mort et enterré avec le cadavre de sa génitrice.
Mort avec la bombe ayant retentit et l'ayant volé d'un futur.
Ne restait que le corps, encore respirant mais vide de sens. Il avançait, se levait, souriait aux personnels lorsqu'ils le saluaient, en automatisme, alors que Pensée rêvait d'être six pieds sous terre, sortir par la
Porte et se jeter en bas.
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On a beau lui dire que ceci est Phymeris et qu'il est en sécurité, le rescapé n'y voit qu'une prison de plus. Était-ce les enfers pour le punir d'avoir tenté? Il n'était pas idiot, il savait très bien que sa petite escapade sur les toits de l'hôpital n'avait pas porté ses fruits, pas lorsqu'il n'avait même pas atteint la liberté dont il souhaitait, pas quand il ne
voyait toujours que le noir. Les sourires dans les voix des gens, leurs attitudes enjouées et insouciantes irritaient les nerfs du nouvel arrivé, enthousiasme non partagé quand son seul souhait était de partir d'ici désormais, retourner dans son lit d'hôpital pour continuer de s'y tuer à petit feu.
Ou grand feu, il n'avait pas encore décidé.
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On lui avait raconté toutes les rumeurs imaginables contre et pour ce petit voyage : on lui avait raconté des histoires de miracles qui avaient tourné aux malédictions dès que la personne était revenue, de fins heureuses et de celles désastreuses, avertissements contre la volatilité du Reclus. Scepticisme avait coloré chacun de ses pas, et pourtant
pourtant, le génie de l'île avait changé quelque chose alors que tous les médecins lui avaient assuré qu'il ne verrait plus jamais. Le prix avait été dur, dernier souvenir d'un passé encore amer, mais...
Il pouvait
voir.
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Police. Encore. Il le sait, il fait pitié, alors qu'il accepte les clés du bureau de chef de police de Mephala, parmi les merdes de l'île. On ne veut pas de lui parmi les étoiles, il le sait, pas lorsqu'il ne cache pas ses cicatrices pour s'amadouer à la petite image de village paisible. Et pourtant, il se sent bien mieux parmi les racailles, parmi les merdeux et les ratés, là où la pitié n'a pas de règne et où tout se gagne aux sangs et à la Force. Les Règles de la vie
réelle, et pas les mensonges que se racontent les gens à l'auberge pour calmer les nouveaux arrivants d'un mensonge d'un avenir heureux.
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La forme sur le trottoir, il la reconnait. Il s'y voit, l'instant d'un moment, précaire sur le bord du toit, à se noyer dans l'alcool pour oublier les douleurs du passé, à imaginer basculer, mais jamais tenter avant La Soirée. Il se souvient, de ce vide dans l'âme, comme si l'on n'était plus conducteur de son propre être, dirigé par réflexe et colère, noyé dans le besoin de disparaitre. Alors il la prend par le collet de son manteau sal, la traine par la force dans un restaurant du coin, l'assis sur un banc et commande de quoi manger. Déguste sa nourriture face aux silences, puis dit de bien laids mots, car l'élégance l'a quitté avec la capacité de lire et apprécier l'art, car il n'a jamais été doux, pas depuis, car la regarder exister, mais pas vivre, l'irrite.
Car il la reconnait.
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On lui offre Capitaine de Police sur un plateau d'argent, comme si sa vie entière n'avait pas pris fin avec le vol de l'opportunité. On le félicite sur sa promotion, sur sa réussite, comme si le moment n'était pas juste le deuil d'un rêve d'enfance. Et pourtant il dit oui, il sent ses lèvres former la syllabe, il sent sa main serrer celle du Maire, et c'est uniquement lorsqu'il se retrouve seul dans le Bureau, avec seul le silence de ses pensées qu'il sombre. Contemple le passé et le présent, et s'offre une bouteille d'alcool fort juste pour une soirée, se laisse tenter par ses démons pour oublier les sacrifices qui ont été fait pour arriver jusqu'ici. La santé sera pour demain, pour le moment il se laisse se noyer, se recroqueviller dans un coin et finalement pleurer les pertes.
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Il ouvre les yeux en silence le matin, ignorant les voisins commençant leur journée avant la sienne, orbites scrutant à la fois le vide et les tuyaux du plafonds. Dans un moment, il se lèvera lentement, lourdement, pieds nus tapant le plancher, se dirigera vers le couloir et déboulant dans la salle commune et son saint café. Plus tard il ira au poste de police, fera mine d'ignorer les gens à l'entrée puis montera à son bureau. Il ira à son rendez-vous avec le maire en après-midi, reviendra à sa chambre à l'auberge quand il aura fini.
Mais pour le moment il fixe la sensation de l'air chaud se percutant contre le mur de sa chambre, prenant le temps de respirer.
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Joyeux Putain d'Anniversaire Demian.
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- résumé:
Demian nait le 8 novembre 1975 dans un studio au milieu de New York
Sa mère ne possède pas de grand revenu, mais voit l'arrivée de son fils comme une bénédiction. Le père quant à lui n'est pas dans l'image, une sortie d'un soir uniquement
Demian n'est pas un enfant difficile, mais l'école ne l'attire pas. Il préfère grandement rester dans leur jardin sur le toit de leur immeuble ou encore avec les coups de pinceau de sa mère.
Alors qu'il est âgé de 9 ans, il s'éprend du métier de policier grâce à un ami de famille, qui lui raconte ses enquêtes tard le soir
C'est ainsi qu'il se dirige dès un jeune age vers la carrière de policier, qu'il intègre à l'age de 19 ans
Sa mère décède d'un accident : Demian manque les funérailles à cause d'une enquête urgente et il le regrettera le reste de sa vie
Alors qu'il accompagne un détective sur une scène de crime, le coupable réussi à fuir l'étreinte des forces et fait exploser son automobile : les éclats de vitre blessent Demian au visage, lui coûtant sa vue et toute chance qu'il possédait à une carrière
En arrêt de travail forcé afin de se rétablir, puis en libération honorable, il sombre dans une dépression face au reste de sa vie qu'il devra vivre dans le noir total
Les Portes de Phymeris apparaissent alors qu'il monte sur le toit afin de se jeter en bas
À l'auberge, ce changement de lieu ne résout pas ses problèmes, et c'est ainsi qu'il entend parler du "Dieu" de Phymeris : il décide d'aller le voir, pour l'implorer de lui rendre sa vision
Konnor lui propose un marché : La montre de sa mère, seul héritage qu'il avait pu amener avec lui à Phymeris, contre une toute nouvelle vision
Le génie du village lui donne alors le don de ressentir les températures et de s'en aider afin de "voir"
Demian se résigne : c'est le meilleur qu'il obtiendra, vraisemblablement.
Il rejoint les forces de l'ordre de Phymeris, car malgré la générosité de ses voisins, l'idée de vivre uniquement par la pitié des autres ne lui plait pas
Il est assigné à Mephala, puis en devient son chef de police
À Mephala, il construit son réseau d'information, gardant un oeil sur les petits rejets de Phymeris autant que sur les possibles avancements dans leur quête d'une sortie de Phymeris : qui sait, il n'a jamais été contre l'idée de peut-être un jour s'en aller, et il préfère pouvoir garder la porte ouverte
C'est un soir pluvieux qu'il tombe sur la forme bourrée d'Ashley dans la rue : il la tire par son cou, la fout dans un restaurant du coin et lui donne une bonne tape sur le haut de la tête
Il monte les rangs et remplace l'ancien capitaine de police, léguant son poste à Ashley