Sloan Whitmore
ft. Albedo - Genshin Impact
age 26 ans
nationalitéanglaise
pronoms Il / Lui
orientation ?
job Apprenti forgeron
logement logement privé
Thème musical Par ici ! ✧Avant d’arriver à Phymeris, Sloan se teignait les cheveux d’une couleur un peu plus foncée car son blond d’origine est très clair. Il a toujours été complexé par son teint plutôt cadavérique, mais depuis son arrivée ici, tout cela est bien devenu le cadet de ses soucis. En conséquence, sa couleur naturelle a fini par faire son retour, et il n’y a plus touché depuis ces deux ans et demi. Il se coupe également les cheveux seul depuis lors (comment lui dire que ça commence à se voir ?). ✧ Du fait de ses quelques piercings et tatouages, les gens ont tendance à assumer que sa cicatrice à la lèvre résulte d’une rixe ou ce genre de chose. En réalité, c’est mal le connaître : il est bien plus du genre à s’interposer qu’à amorcer les coups. Mais comme il aime bien taquiner les autres, chacun aura le droit à une histoire différente quant à son origine. Bien plus cool que de raconter comment son chien alors tout jeune est parvenu à le renverser et à lui laisser par accident ce joli souvenir en l’escaladant avec un peu trop d'entrain. ✧ Sloan a ce qu’on appelle l’oreille absolue, mais cela ne lui est plus d’aucune utilité ici pour le moment.
caractéristiques
✧︎ CARACTERE : Sloan a toujours été quelqu'un de très solaire dans son ancienne vie, et surtout de très curieux, touche à tout et taquin. Il adore les animaux et les baignades impromptues en eaux glaciales, cuisine incroyablement mal pour quelqu’un d’aussi doué de ses mains, et ses lunettes sont toujours un peu trop de travers sur son nez. Ce ne sont pas des choses que l’on remarque au premier regard le concernant, car il compense par ses grands sourires et sa nature avenante. Cependant, ce n'est pas parce qu'il possède un tempérament sociable qu'il n'est pas en mesure d'écouter autrui, bien au contraire. Depuis qu'il est arrivé à Phymeris, il s'est cependant renfermé peu à peu sur lui-même, mais reste d'un naturel enjoué. Sloan est quelqu'un de réfléchi et de rigoureux lorsque l'on apprend à le connaître, deux traits de caractère qui lui ont beaucoup servi dans sa jeune carrière de violoniste, bien qu’il s’oublie et se néglige parfois en conséquence. Aujourd'hui, ce n'est définitivement plus quelqu'un de timide, mais ce sentiment ne lui est pas étranger non plus, puisqu'il a passé son enfance à flirter avec. Il a simplement choisi de s'en détacher peu à peu, car la vie lui semble trop courte pour se questionner sur chaque tournure de phrase ou mot prononcé de travers. Cela a contribué à faire de lui quelqu'un d'assez libre et parfois trop franc. Cette liberté vaut aussi pour son apparence physique. Sloan est quelqu’un de peu pudique en général.
Dès qu'il a eu l'âge (au grand damn de ses parents !), il a très vite commencé à se réapproprier son apparence et à expérimenter avec celle-ci, bien qu'on le lui ait déconseillé étant donné ses ambitions. Le temps lui donnera pourtant raison, puisque son talent lui a permis de passer outre toute forme de discrimination en définitive. Quant à la question des amours... Lorsque l'on travaille tant, il n'est pas forcément propice de se laisser aller à ce genre de chose, si ? Bien sûr, il a déjà quelques flirts à son actif, mais rien de très poussé. Evidemment, il y pense parfois, d'autant plus à présent que sa vie s'est trouvée changée du tout au tout. Mais c'est avec beaucoup d'adresse qu'il ensevelit ces questionnements sous ses tâches d'apprenti forgeron. Depuis qu'il est arrivé à Phymeris, il est également en proie à des angoisses nocturnes et a parfois des difficultés à trouver le sommeil ; cela peut le rendre occasionnellement irritable.
✧︎ PHYSIQUE : Sloan mesure à peu près 1m80 et est plutôt en bonne condition physique, mais ne fait pas de sport à outrance non plus ; il aime bien faire un petit jogging aux aurores de temps en temps, et voilà tout. Dans son ancienne vie, c'était quelqu'un de plutôt matinal et cela n'a guère changé. En revanche, comme son sommeil est perturbé, deux jolies cernes bien creusés ont fait leur apparition sous ses yeux. Sa chance, c'est que ses lunettes les dissimulent à peu près.
Son teint pâle s'accompagne de cheveux blond clair, et d'yeux bleu glacier qu'il sait intimidants pour certains. À l'adolescence, cette apparence de chérubin lui a valu beaucoup de moqueries, ce qui l'a encouragé à teindre sa chevelure à plusieurs reprises, d'abord châtain clair comme ceux de ses parents, puis brun dans sa période gothique, avant de retrouver un châtain à l'âge adulte, une fois passé sa période d'errance (heureusement, plus de téléphone, plus de preuves !). C'est l'un des rares complexes qui l'ait accompagné jusqu'à l'âge adulte. Ça, ainsi que son plexus solaire soi-disant trop prononcé.
Sloan a de nombreux tatouages et piercings, certains plus réfléchis que d'autres, il faut bien le dire. Il n'en regrette cependant aucun. Depuis qu'il travaille à la forge, en raison de la chaleur ambiante, certains piercings devenaient embarrassants. Il en a donc retiré quelques uns à contrecœur.
HISTOIRE
✧︎ Il est plus aisé de comprendre ce qui a contribué à forger sa personnalité lorsque l'on s'attarde sur son histoire. Né au Danemark, Sloan est adopté par ses parents à l'âge de six ans, ce qui peut sembler assez tardif. Il ne garde que peu de souvenirs de son pays d'origine, mais par plusieurs reprises l'idée d'y retourner et de le découvrir lui a effleuré l'esprit en tant qu'adulte, sans qu'il ose sauter le pas pour autant. Son adoption s'est exceptionnellement bien passée, et il considère ses parents adoptifs, Mary et David, comme ses parents à part entière, sans contrepartie ou rejet. Sans doute du fait de la différence culturelle et des quelques acquis qu’il avait déjà, les premiers pas à l’école britannique ont été compliqués pour le blond. Heureusement pour lui, sa famille était très présente et a compensé le manque d’amis dans les premiers temps. Bientôt, un petit chien du nom de Rook a même rejoint la famille et Sloan s’y est très vite attaché.
L’adolescence, comme pour beaucoup, a été l’une des périodes les plus compliquées de sa vie mais aussi l’une des plus libératrices en définitive. Désormais, il n’a plus peur de s’affirmer, et de tenir tête à ses camarades les plus chahuteurs. Son petit look “alternatif” lui vaut quelques doigts pointés par-ci par-là, mais aussi de premiers vrais amis. La poussée de croissance a joué en sa faveur et bientôt, on lui cherche de moins en moins de noises. De toute façon, l’intimidation ne prend plus. Il préfère tourner les remarques en autodérision et travaille à changer sa différence en confiance en soi. En parallèle, il comprend très vite que malgré ses bonnes notes ce ne sont pas les études conventionnelles qui lui conviennent.
Touche à tout, vous vous souvenez ? Depuis l’enfance, il touche au piano de maman et apprend même à en jouer sur les genoux de cette dernière, qui ne comprend que trop bien l’affinité de son fils pour la musique. Mary prend le parti pris de lui faire prendre des leçons particulières, qui ne se passent pas très bien. Après un faux départ et un changement de professeur, les astres s’alignent. Sloan délaisse peu à peu le piano après se l’être déjà bien approprié, et s’essaie à la guitare, puis au violon. L’instrument lui résiste, mais de cette complexité résulte une subtilité qui achève de le séduire. Et peu à peu, il s’améliore, jusqu’à pouvoir aspirer à devenir plus qu’un amateur. C’est à cette même période qu’il fait part à ses parents de son souhait de devenir joueur professionnel et de suivre un parcours d’études musical. À dix-sept ans, il passe les auditions pour intégrer la Guildhall School of Music and Drama. On lui demande d’abord de jouer une classique sonate de Bach, avant de tester ses limites sur Mendelssohn ; les résultats sont unanimes, il est reçu et peut entamer ses études dans l’école de ses rêves. Une chance qu’il va saisir et à laquelle il devra solidement s’accrocher.
Ce sont des études extrêmement exigeantes qu’il débute, et qui auront définitivement en gros impact sur sa façon d’être. Il apprend à ne plus se comporter uniquement comme un soliste et à se placer par rapport aux autres, à épouser leur jeu autant qu’eux épousent le sien. L’ambiance est très différente de tout ce qu’il a connu jusque-là et il s’intègre extrêmement bien, en plus de croiser le chemin de personnes qui l’accompagneront dans sa vie d’adulte. Parmi elles, Madelynn, dite Maddie, devient rapidement sa meilleure amie.
Chaque journée est un nouveau challenge, mais Sloan relève le défi et place la barre toujours plus haut, parfois jusqu’à se perdre dans son exercice. Désormais, ceux qu’il fréquente le plus sont ses amis de Guildhall, et ses parents et son chien qu’il retrouve à la maison chaque soir. Il termine son parcours au sein de Guildhall épuisé, mais incroyablement accompli. Malgré tout, Sloan est ambitieux et il sait bien que ce n’est qu’une étape pour lui.
Fraîchement diplômés, lui et Madelynn sont approchés par de nombreux orchestres professionnels, mais choisissent de faire encore un petit bout de chemin ensemble et d’accepter une place au sein de l’orchestre symphonique de Birmingham. Pour la première fois, Sloan va quitter le nid familial à 22 ans et déménager dans une ville qu’il ne connaît pas encore. Le blond n’est pas inquiet, mais c’est une déchirure pour lui de quitter ce cocon de Londres qu’il affectionne tant, lui qui est très tourné vers la famille. Il prend son envol et lui et Maddie emménagent ensemble dans un premier temps, avant d’obtenir plus tard leurs appartements respectifs, bien que Madelynn ait toujours insisté sur le fait qu’habiter avec Sloan n’était pas un problème pour elle.
Très complices, les deux jeunes gens comprennent rapidement qu’ils ont fait leur entrée dans la cour des grands et vont devoir jouer des coudes pour se faire une place. Peu après leur arrivée, le destin vient s’en mêler, et le premier violon prend sa retraite. Une occasion en or pour eux de prouver leur valeur. Dès lors se lance une compétition amicale entre eux pour la place, qui devient plus sérieuse lorsqu’un violoniste italien rejoint l’orchestre à son tour pour y prétendre. En effet, Roberto Bianchi semblait pressenti, et avait même été recommandé par le précédent chef de pupitre. Cependant, après de nombreuses auditions, Sloan est finalement nommé, ce qui va instiguer d’importantes tensions dans l’orchestre. D’abord vis à vis de Roberto, qui avait rejoint l’orchestre uniquement pour cette place, mais également auprès de quelques autres musiciens qui le jugent trop jeune et sûr de lui pour cette place. Les bruits de couloirs vont bon train ; il apprend à ne plus laisser ses affaires dans son casier personnel, qui est régulièrement forcé. Il laisse son vélo à l’écart après se l’être fait voler à plusieurs reprises.
Ces tentatives d’intimidation auraient pu attiser son amertume, mais Sloan dispose du mental pour les combattre et travaille à se faire apprécier peu à peu de ses pairs et à mériter sa place plutôt que d’attiser leur colère. Il n’en réfère qu’une fois au chef d’orchestre, puis compte sur le temps pour faire son œuvre. Il s’estime toujours heureux de pouvoir laisser libre cours à sa passion, et encore plus d’être entouré de personnes si talentueuses. Madelynn l’aide aussi à remonter la pente en privé, lorsque les idées noires pointent le bout de leur nez.
Quelques mois passent, et les choses semblent se tasser. Sloan est un premier violon respecté pour sa maîtrise et sa patience, il donne tout son temps à ses collègues et reste toujours aussi éperdument amoureux de son instrument, au point de ne pas toujours cerner tout à fait ce qu’il se trame au niveau des rapports humains autour de lui. Et c’est sans doute ce qui pêchera ce soir-là, tandis qu’il s’attardait sur un extrait aux côtés de Maddie.
“Non, c’est un peu plus rapide comme enchaînement. La reprise se fait ici. Quand je finis, pas de temps mort.”
“Bon, je ne l’ai pas encore, mais je vais travailler ça avec Roberto ! C’est lui qui me perd, il a toujours de l’avance !”
C’est fou, comme il se souvient de chacun de leurs échanges ce soir-là. Comme il se souvient de la façon que Madelynn a eu de regarder sa montre, puis de s’affoler. Comme à son habitude, elle avait failli manquer le dernier bus pour répéter avec Sloan. Ils avaient toujours fait ça, parfois jusque tard le soir. Au point qu’on vienne les charrier le lendemain, et leur demander comment s'était passée leur soirée. Maddie comptait passer tôt le matin suivant pour s’exercer, lui avait demandé de ranger son violon en lieu sûr, et Sloan s’était exécuté.
Il se souvient d’avoir saisi son propre instrument, et de l’avoir rangé dans son étui puis pris sur le dos : il amenait encore fréquemment son violon personnel justement pour ce genre de moments privilégiés avec Maddie. Ensuite, avec délicatesse, il s’était saisi du violon de son amie pour aller le ranger dans la réserve. Le trousseau de clefs en main, il avait fermé la salle de répétition, puis éteint la lumière générale de la section. Il n’en n’avait pas besoin pour s’orienter dans ces lieux qu’il connaissait sur le bout des doigts, et appréciait de pouvoir admirer les lumières de la ville à travers la grande baie vitrée du bâtiment. À la lueur verdâtre des sorties de secours, il se souvient d’avoir monté l’escalier menant jusqu’à la réserve, puis de s’être figé en entendant un bruit singulier, l’explosion du bois, le grincement des cordes qui cèdent. Il se souvient être monté plus vite, paniqué à l’idée que l’on puisse être en train de dérober de précieux instruments. Puis avoir trouvé là, sur la moquette rouge, un pauvre violon brisé, privé de ses cordes. Il se souvient s’être accroupi pour saisir l’instrument, interloqué. Et puis, ce poids sur lui, la tension à sa gorge.
Les voilà, les cordes du violon meurtri.
Pendant plusieurs secondes qui lui semblent interminables, il lutte dans l’obscurité avec son assaillant. Celui-ci est mal assuré. De plus, Sloan a eu le temps de glisser ses doigts entre les cordes du violon et son cou. Le blond sent qu’il ne doit rien lâcher et que cet acte n’est pas prémédité, qu’il est trop intime pour que son assaillant aille jusqu’au bout. Il finit par pousser de toutes ses forces en arrière pour écraser l’autre contre le mur, et s’élance de nouveau dans les escaliers, sans se retourner. Leurs pas sont étouffés par le sol matelassé, mais il peut l’entendre. On le suit. Tout va très vite : il est trop loin de la sortie, et décide de descendre dans l’un des petits studios d’enregistrements de l’orchestre. Ceux-ci ont besoin d’un code que seuls les membres ayant une certaine ancienneté connaissent. Le cœur battant, il le compose et franchit la porte… pour ne jamais revenir.
Mais au loin, il lui semble encore entendre, comme dans un rêve, le bip distordu de l’ouverture de la porte.
Lorsqu’il s’est réveillé dans un lit à l’auberge, Sloan était raisonnablement choqué, au point de refuser pendant quelque temps une quelconque communication. Le contact chaud et doux des draps frais contre sa peau lui semblait si loin de la terreur qu’il venait à peine de quitter que le tableau d’ensemble n’en n’était que plus dissonant dans son esprit. Pourquoi maintenant ? Pourquoi comme ça ?
Il lui a fallu deux mois pour commencer à accepter sa situation. Son téléphone ? Disparu, sans doute oublié en salle de répétition, en y repensant. De toute façon, rien ici ne permettait de l’utiliser, comme il devrait l’apprendre par la suite. Sloan n’avait plus aucun moyen de contacter ses parents, ou même Maddie. Comme il aurait aimé prévenir cette dernière, s’assurer qu’elle allait bien…
À sa grande surprise, son violon avait fait la traversée avec lui.
Au troisième mois, Sloan a commencé à chercher un apprentissage ou un métier qui puisse lui convenir à Phymeris. En réalité, il faut bien dire qu’il cherchait un exutoire, et n’était pas vraiment dans son état normal lorsqu’il est venu frapper à la porte d’Alistaire. Non, en fait il était en colère. Une colère sourde qui dissimulait le chagrin qui devrait poindre par après, suite à l'acceptation d’une vie perdue. Etait-il mort ce jour-là ? Il n’en savait rien. Mais ses proches lui manquaient terriblement. Bêtement, il s’était dit qu’en se formant à la forge, il pourrait frapper sur quelque chose et décharger ce qui l’animait. Oh, combien il s’était trompé ! Il allait vite apprendre aux côtés du maître des lieux que forger était bien plus subtil, et demandait beaucoup de patience et d’acharnement. Petit à petit, Sloan y a trouvé du plaisir, puis une nouvelle vocation inattendue. Ses mains ont fait place à de nouvelles cales, différentes de celles acquises en jouant du violon. Sa tristesse s’est trouvée évincée par un quotidien bien rempli, et il s’est attelé à aider Alistaire au mieux de ses capacités, jusqu’à se prendre d’une certaine affection pour le quarantenaire et à apprendre à lui faire confiance. Malgré tout, il ne parle quasiment jamais de sa vie d’avant, et en dépit de son caractère sociable, il ne voit que très peu de monde depuis son arrivée. Il approche pas à pas des trois ans à Phymeris écoulés, mais est bien loin de connaître tout le monde. Sloan reste volontiers du matin au soir à la forge, et n’hésite pas à faire du zèle. C’est un bon apprenti, mais il a tendance à négliger sa santé ces derniers temps. A l’heure actuelle, Sloan s’est apaisé et a retrouvé sa bonne humeur caractéristique ; cependant il lui manque encore quelque chose pour pouvoir véritablement accepter sa condition à Phymeris et pouvoir espérer s’y épanouir. Il continue à faire ses promenades nocturnes, à s’aventurer aux limites de cet endroit dont il ne saisit pas encore tout à fait l’existence, et à rêver de ce couloir interminable, de ce souffle derrière lui, de cette lumière verdâtre qui éclaire à peine son chemin.
Il n’a pas retouché à son violon ou à un instrument depuis son arrivée. La chaleur du foyer familial lui manque plus que tout au monde.
@Lupinus
derrière l'écran :
Mon blaze officiel c’est Lupinus mais vous pouvez m’appeler Lupi (ou par le nom de mon perso, très bien aussi). Que dire. J’aime beaucoup rp mais je n’ai pas de genre de prédilection. En ce moment je tape plutôt dans le futuriste, donc je pense que Phymeris va potentiellement être bien dépaysant pour moi ! Personne ne m’a amené ici, je suis arrivé de mon propre chef (contrairement à Sloan
). En espérant ne pas faire trop de bêtises avec cette fiche, car je suis un peu rouillé en ce qui concerne les présentations. C’est plus long que ce que j’espérais d’ailleurs. J'espère que cela ne dérangera pas Alistaire que je m'empare de son scénario, comme dit en chatbox ; j'ai hâte de rentrer moi-même en contact avec toi et avec vous tous pour apprendre à vous connaître, vous et vos persos. <3